
Face à l'impérialisme qui impose un ordre international injuste et insoutenable, qui aggrave les conditions de la classe ouvrière et des peuples, les défis des mouvements qui plaident pour un nouvel ordre mondial sont de plus en plus grands.
L'abolition de l'exploitation de l'homme par l'homme, les relations mutuellement bénéfiques entre les États et les peuples, le développement durable et la solidarité, et enfin, la paix, sont les bastions d'un monde qui, non seulement peut être meilleur, comme l'avait proclamé le commandant en chef de la Révolution cubaine, Fidel Castro Ruz, mais qui est également indispensable pour sauver l'Humanité.
Dans cette perspective, la 22e Rencontre internationale des Partis communistes et ouvriers, qui a réuni 78 Partis de 60 pays et s'est achevée le 30 octobre à Cuba, a été porteuse d’espoirs. Au terme des débats, les participants ont publié une Déclaration finale et un Plan d'action, un niveau d'accord qui n'avait pas été possible lors des réunions précédentes.
Les organisations présentes ont ratifié la condamnation du blocus maintenu par les États-Unis contre Cuba, et ont dénoncé l'application opportuniste de mesures coercitives. Ils ont condamné les tentatives de déstabilisation de la situation interne de l’Île et son inclusion injuste dans la liste fallacieuse et unilatérale des pays qui soutiendraient le terrorisme.
La réunion n'a pas été convoquée pour faire l'éloge d'un système, comme l'a déclaré le Premier secrétaire du Comité central du Parti communiste cubain et président de la République, Miguel Diaz-Canel Bermudez, dans son discours de clôture, mais pour l’analyse et la concertation d’efforts.
Afin de concrétiser ces efforts, a souligné le président cubain, il est nécessaire de donner la priorité aux objectifs stratégiques que nous partageons, tout en reconnaissant la force que représente la diversité dans l'unité, afin d'apprécier les expériences et les résultats indiscutables obtenus, grâce à la lutte inlassable et à la construction collective.








