ORGANE OFFICIEL DU COMITÉ CENTRAL DU PARTI COMMUNISTE CUBAIN
Photo : Xinhua English

« Aucun pays au monde n'a le droit d'en soumettre un autre ». C'est ce qu'a déclaré le 6 janvier le président du Mexique, Andrés Manuel Lopez Obrador, lors de sa conférence de presse matinale, Une fois de plus, il a critiqué le blocus économique des États-Unis contre Cuba, le qualifiant comme une cause fondamentale de la situation que traverse l'Île et comme un encouragement à la migration de ses ressortissants par des voies irrégulières et dangereuses qui incluent le transit par ce pays.
Il a déclaré que cette politique non seulement ignore le Droit international, mais constitue également une violation des droits de l'Homme, un moyen pour empêcher le peuple cubain de disposer des éléments de base pour vivre, et de déclencher une guerre interne qui provoquerait un renversement du gouvernement, ouvrant la voie à un autre pays pour dominer le pays.
Le Premier secrétaire du Comité central du Parti et président de la République, Miguel Diaz-Canel Bermudez, a remercié sur le réseau social X la position systématique et ferme de son homologue : « Peu dans le monde comprennent l'objectif et l'impact du blocus génocidaire contre Cuba, comme Andrés Manuel Lopez Obrador », et il a estimé que sa « gestion en faveur de tous les peuples de Notre Amérique n'est comparable qu'à son impressionnant travail de transformation du Mexique ».