ARAGUA, Venezuela. – Nul n’ignore dans le monde que Cuba figure injustement sur une liste des pays qui soutiennent le terrorisme. Même ainsi, alors qu’elle est assiégée, l’Île maintient son engagement inébranlable à apporter son soutien à l'Humanité, et de nombreux peuples frères l'accompagnent dans sa lutte contre l'impérialisme.
Depuis l’accolade historique entre Fidel et Chavez en 1994, Cuba et le Venezuela ont forgé une amitié qui a perduré jusqu'à aujourd'hui. Les raisons étaient donc nombreuses
pour tenir, dans l'État vénézuélien d'Aragua, les 2 et 3 mars, la 13e Rencontre nationale de
solidarité avec Cuba, à laquelle ont participé des délégations de neuf pays, ainsi que des représentants du mouvement de solidarité avec Cuba et d’aide mutuelle dans ce pays.
Au terme des sessions de débats en commissions et des conférences sur l'Histoire, la communication et la jeunesse, les délégués ont émis une Déclaration finale pour « exiger le retrait immédiat de Cuba de la liste illégitime des États soutenant le terrorisme ».
Ils se sont également prononcés en faveur de l’organisation d’actions sur les cinq continents exigeant du gouvernement des États-Unis qu’il mette fin au blocus « qui porte atteinte au développement et au bien-être » de notre pays.
Il a été proposé de mettre un place une chaire Révolution en trois étapes dans toutes les universités vénézuéliennes, dans lesquelles serait étudiée l'Âge d'or, de José Marti, et de promouvoir la création d'un parc dans la ville de Maracay portant le nom de cette œuvre littéraire.
Entre autres actions, il a été proposé d'organiser et de promouvoir le troisième vol de solidarité Bolivar-Marti, « dans le but de continuer à construire des ponts de peuple à peuple », ainsi que de contribuer à la diffusion du 8e Séminaire international sur la paix et de plaider en faveur de l'abolition des bases militaires étrangères.
