Réflexions de Fidel
Le prix Nobel de la paix
C’EST à peine si je parlerai du peuple cubain qui a liquidé un jour la domination des États-Unis de sa patrie, quand le système impérialiste était au faîte de sa puissance.
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C’EST à peine si je parlerai du peuple cubain qui a liquidé un jour la domination des États-Unis de sa patrie, quand le système impérialiste était au faîte de sa puissance.
Notre pays ne largue pas de bombes sur d’autres peuples, n’envoie pas des milliers d’avions bombarder des villes, notre pays ne possède pas d’armes nucléaires, pas d’armes chimiques, pas d’armes biologiques. Les dizaines de milliers de scientifiques et de médecins de notre pays ont été formés dans l’idée de sauver des vies.
Toutes ces analyses, tous ces calculs auxquels se livre l'Occident, c'est quelque chose qui les stimule et les encourage dans leurs prétentions, dans leur arrogance
À l’occasion de la commémoration du 70e anniversaire de la Grande guerre Patrie, le leader de la Révolution a exprimé sa profonde admiration pour l’héroïque peuple soviétique qui a rendu un service colossal à l’Humanité
Ce qui ne serait pas glorieux, c'est de tendre le cou pour que l'empire le tranche • Ils savent que cela n’est jamais arrivé et n’arrivera jamais
« La confiance révolutionnaire de croire dans les jeunes », déclara le leader de la Révolution cubaine dans un discours prononcé à la clôture du Congrès de l’Association des jeunes rebelles, le 4 avril 1962